Echanger avec des clients internationaux

Pouvez-vous vous présenter ?

Bonjour, je me présente, je suis Aurélie M. Je suis directrice de clientèle en agence de communication, et parmi mes clients, je bosse beaucoup pour Fondation de France, Amnesty, beaucoup d'ONG et de fondations. Je les accompagne dans leur collecte de don tout au long de l'année.

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Quels étaient vos objectifs de formation ?

Quand j'ai commencé ma formation, j'étais dans une autre agence (Digital Prod), et beaucoup de nos clients étaient anglais ou internationaux, donc j'avais vraiment besoin de perfectionner mon anglais, aussi bien à l'écrit qu'à l'oral, afin d’être beaucoup plus à l'aise. À l'écrit ça allait, parce qu'on a le temps de réfléchir, de se poser pour trouver les bons mots, les bonnes tournures de phrases. À l'oral, ce n'est pas du tout le cas. Il faut que ce soit très spontané, et quand on est français avec des interlocuteurs étrangers, ou du moins anglophones, c'est hyper rassurant pour eux d'avoir quelqu'un en face qui maîtrise bien la langue, et qui maîtrise aussi les termes techniques qu'on peut aussi avoir dans nos jobs. C'était vraiment pour ça à la base que je faisais cette formation.

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Comment se sont déroulés vos cours particuliers ?

Au tout début, vu que c'était très orienté professionnel dans le cadre de mon évolution professionnelle, avec des termes spécifiques, liés à mon métier, j'ai eu un premier professeur, sur les deux, trois premiers mois.

Ensuite cet été j'avais un peu plus de temps, mais mon prof était moins disponible, donc j'ai pu changer de professeur, et j'ai enchainé mes cours avec Vicky.

Et au final, ça s'est super bien passé, la transition s'est hyper bien faite. Vicky a su me poser des questions très précises qui m'ont obligée justement à utiliser l'anglais, sur des sujets de conversations auxquels je m'attendais moins. Souvent on commençait les réunions par "Comment s'est déroulée ta journée ?". Donc, je lui racontais de façon très succincte, et un jour, je lui raconte que je dépose mon fils tous les matins en vélo, et ensuite derrière il a fallu que je décrive la route précise que je prenais en vélo. Et c'est tout bête, mais un feu de signalisation, un passage piéton, un rond-point, des choses qui sont très naturelles en français, je ne les connaissais pas en anglais.

Ça m'aide dans l'anglais quotidien pour avoir une discussion beaucoup plus fluide.

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Comment se sont déroulés vos cours e-learning ?

La plateforme est hyper bien faite, il y a un côté très pédagogique, on explique exactement la thématique du cours qu'on est en train de suivre et après il y a tout de suite une mise en pratique, donc ça permet de mieux intégrer le cours. Mais très naturellement, j'ai du mal à prendre le temps d'aller sur la plateforme et de faire les cours.

En revanche, je demande assez facilement à mon professeur, en fonction des échanges qu'on peut avoir, des erreurs que je peux faire, qu'elle me suggère elle-même des cours. J'avoue que c'est plus facile pour moi de faire ce qu'on me demande de faire que d'aller à la recherche de cours sur la plateforme.

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Le format 100% en ligne était-il adapté à vos besoins ?

Oui carrément, c'est beaucoup plus facile, ça évite de se dire "oh non j'ai pas envie" ou "je n'ai pas le temps". Là en plus l'amplitude horaire est assez large. Typiquement, Vicky est au Canada donc elle donne des cours jusqu'à quasi 22h ou 23h, heure française. Donc j'ai amplement le temps de pouvoir faire ma journée de boulot, de rentrer chez moi, de m'occuper de mon petit et d'avoir des cours d'anglais à 20h, 21h, 22h. Ca se glisse beaucoup plus facilement, le fait que ce soit 100% en ligne, dans mon emploi du temps

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Avez-vous fait des progrès ?

Je me sens beaucoup plus à l'aise, au-delà d'observer moi-même des progrès, des évolutions, parce que c'est difficile de se juger soi-même. En tout cas, une chose est certaine, je me sens beaucoup moins stressée, j'ai beaucoup moins d'appréhension à prendre la parole en anglais. Et je me rends compte aussi qu'il y a énormément d'indulgence auprès de nos interlocuteurs, en tout cas, ils préfèrent voir qu'on fait l'effort de parler en anglais, même si on fait des fautes, plutôt que d'avoir cette barrière de la langue et de rester bloqué et de ne pas du tout essayer de parler en anglais.

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Recommanderiez-vous le Cercle des Langues à quelqu’un souhaitant apprendre l’anglais ?

Oui carrément, j'ai eu un super bon suivi du début jusqu'à la fin. Martin a été hyper pédagogue, j'ai eu pas mal de points assez régulièrement. On sent qu'il y a un vrai suivi, même s'il y a des moments où je n'étais pas hyper assidue, ou si je lâchais un peu, parce que comme tout le monde, pris dans notre boulot, notre quotidien, on peut assez facilement lâcher.

Mais j'avais régulièrement des réunions avec Martin, qui m'incitait à reprendre des cours. C'est un peu le syndrome de la salle de sport, on est très assidu au début et on lâche au fur et à mesure. Mais là, contrairement à la salle de sport, j'avais toujours Martin qui me rattrapait au vol, pour me redonner l'envie de reprendre mes cours. Il y avait un super suivi donc ça c'est top !

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